Histoire de la ville

peinture
cercle bleu ciel

HISTOIRE

DE LA VILLE

Une brève histoire de la ville de Boulogne-Billancourt
 

Notre seule ambition est ici de lever partiellement le voile sur l’étonnante histoire de Boulogne-Billancourt. Objectif : créer l’envie et susciter le désir de découvrir et de visiter notre ville. Pour y parvenir, laissez-nous vous surprendre…

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HISTOIRE
DE LA VILLE

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Une brève histoire de la ville de Boulogne-Billancourt

Notre seule ambition est ici de lever partiellement le
voile sur l’étonnante histoire de Boulogne-Billancourt.
Objectif : créer l’envie et susciter le désir de découvrir
et de visiter notre ville. Pour y parvenir, laissez-nous
vous surprendre….

Les fondations de l’Eglise Notre-Dame remontent à Philippe le Bel au XIIIème siècle.

 

Mais avant même les premières fondations de l’église au XIIIème, c’est au XIIème que les premières traces écrites sur le site actuel de Boulogne-Billancourt apparaissent, avec une ferme détenue par l’Abbaye de Saint-Victor.
Un premier pont semble avoir été lancé sur la Seine à hauteur de Saint-Cloud vers 1189. Ce qui au XIXème allait devenir Boulogne-Billancourt (1860) se dénommait alors Les Menuls-les-Saint-Cloud. La ville garde encore les traces de ce passé, vieux de près de 1.000 ans.

 
Les ateliers de blanchisserie lavaient le linge des Parisiens

 

Sous le règne de Louis XIV le site de Boulogne comptait déjà près de 30 blanchisseries. C’est vers 1789 que le blanchissage fait un progrès décisif, avec l’apparition du chlore qui désinfecte et blanchit le linge.
Durant tout le XIXème siècle, les ateliers de blanchisserie et de repassage constituent la principale ressource économique de la cité. En déclin progressif, alors que d’autres industries prennent leur essor, cette activité perdurera jusqu’à la fin des années 40.

histoire Boulogne
histoire Boulogne
Les fondations de l’Eglise Notre-Dame remontent à Philippe le Bel au XIIIème siècle.
 

Mais avant même les premières fondations de l’église au XIIIème, c’est au XIIème que les premières traces écrites sur le site actuel de Boulogne-Billancourt apparaissent, avec une ferme détenue par l’Abbaye de Saint-Victor. Un premier pont semble avoir été lancé sur la Seine à hauteur de Saint-Cloud vers 1189. Ce qui au XIXème allait devenir Boulogne-Billancourt (1860) se dénommait alors Les Menuls-les-Saint-Cloud. La ville garde encore les traces de ce passé, vieux de près de 1.000 ans.

 

 

Les ateliers de blanchisserie lavaient le linge des Parisiens

 

 

Sous le règne de Louis XIV le site de Boulogne comptait déjà près de 30 blanchisseries. C’est vers 1789 que le blanchissage fait un progrès décisif, avec l’apparition du chlore qui désinfecte et blanchit le linge. Durant tout le XIXème siècle, les ateliers de blanchisserie et de repassage constituent la principale ressource économique de la cité. En déclin progressif, alors que d’autres industries prennent leur essor, cette activité perdurera jusqu’à la fin des années 40.

Renault Boulogne
Les avions Voisin, Farman et d’autres ont été construits à Boulogne-Billancourt

 

 

Fous volants, passionnés de vol, ingénieurs, industriels ou riches investisseurs et mécènes se sont souvent retrouvés à Boulogne-Billancourt. C’est la première guerre mondiale et le besoin d’avions militaires qui favorisa l’éclosion de nombreux ateliers de construction aéronautique; une période dont Maurice Farman profita le mieux. Ateliers Voisin dans la Rue de la Ferme ; Ateliers Robert Esnault-Pelterie dans la Rue des Abondances puis Rue de Silly ou encore Ateliers Farman, Rue de Billancourt… la ville fut l’une des capitales mondiales de l’aventure aéronautique du XXème siècle.

 

 

La première boîte de vitesse a été conçue et fabriquée dans notre ville

 

 

C’est à Boulogne-Billancourt au milieu des années 1890 que toute l’histoire Renault commence. Louis Renault y installe alors un atelier de fortune au fond de la propriété familiale située Rue du Cours. Il y construira de sa propre main sa première automobile. L’extraordinaire essor de Louis Renault ne fait que commencer. Il achète un vieux hangar sur l’Ile Seguin et au fur et à mesure du succès, il conquerra de nombreux terrains – non sans difficultés et rebondissements – jusqu’à posséder la quasi intégralité du sud de la ville qui garde à jamais la marque de cette aventure industrielle hors du commun. L’ultime automobile Renault (une R4) est sortie des chaines en 1992.

histoire industrie
bâtiment
Une ville d’art et d’architecture

 

Le fabuleux essor industriel de Boulogne-Billancourt ne l’a pas empêché d’être aussi le siège d’un incroyable foisonnement artistique et architectural. Des peintres et des sculpteurs de notoriété mondiale s’y sont installés, ainsi que des maîtres fondeurs, verriers ou céramistes. Des mécènes aussi. Parmi les grandes célébrités installées à Boulogne-Billancourt, soulignons des noms comme le sculpteur Paul Landowski ou l’architecte urbaniste Le Corbusier.
Cette grande tradition culturelle, la Ville sait la pérenniser en devenant pour le XXIème siècle l’un des hauts lieux de la Vallée de la Culture.

Alors…si vous souhaitez en savoir plus sur l’incroyable histoire et richesse de Boulogne-Billancourt, l’autre grande ville d’Ile-de-France, venez la visiter et y séjourner. L’Office de Tourisme vous donnera toutes les clés.

Renault Boulogne
Les avions Voisin, Farman et d’autres ont été construits à Boulogne-Billancourt

 

Fous volants, passionnés de vol, ingénieurs, industriels ou riches investisseurs et mécènes se sont souvent retrouvés à Boulogne-Billancourt. C’est la première guerre mondiale et le besoin d’avions militaires qui favorisa l’éclosion de nombreux ateliers de construction aéronautique; une période dont Maurice Farman profita le mieux.
Ateliers Voisin dans la Rue de la Ferme ; Ateliers Robert Esnault-Pelterie dans la Rue des Abondances puis Rue de Silly ou encore Ateliers Farman, Rue de Billancourt… la ville fut l’une des capitales mondiales de l’aventure aéronautique du XXème siècle.

 

La première boîte de vitesse a été conçue et fabriquée dans notre ville

 

C’est à Boulogne-Billancourt au milieu des années 1890 que toute l’histoire Renault commence. Louis Renault y installe alors un atelier de fortune au fond de la propriété familiale située Rue du Cours. Il y construira de sa propre main sa première automobile.
L’extraordinaire essor de Louis Renault ne fait que commencer. Il achète un vieux hangar sur l’Ile Seguin et au fur et à mesure du succès, il conquerra de nombreux terrains – non sans difficultés et rebondissements – jusqu’à posséder la quasi intégralité du sud de la ville qui garde à jamais la marque de cette aventure industrielle hors du commun. L’ultime automobile Renault (une R4) est sortie des chaines en 1992.

Boulogne-Billancourt, cœur historique de la photo et du cinéma mondial

 

Avant le cinéma…la photo ! C’est à Boulogne-Billancourt, en 1882, que le savant Etienne-Jules Marey invente le « fusil photographique » permettant d’enregistrer le vol des oiseaux. Les bases techniques du cinéma étaient nées. En 1926, Henri Diamant-Berger crée le Studio de Billancourt (Quai du Point du Jour), puis d’autres suivront, rue de Silly et rue Jean-Baptiste Clément. Les réalisateurs font aussi construire des décors gigantesques à ciel ouvert.

 

Entre 1930 et 1960 ont été tournés à Boulogne-Billancourt nombre de films qui marquent à jamais l’histoire du cinéma mondial : « Napoléon » d’Abel Gance, « Fanny » de Marcel Pagnol, « Madame Bovary » de Marc Allégret, « La Chienne » et « La Grande Illusion » de Jean Renoir, « Les Amants de Vérone » d’André Cayatte et Jacques Prévert, « Juliette ou la Clé des Songes » de Marcel Carné, « Les Racines du Ciel » de John Houston ou encore « Le Jour le plus long » de Darryl Zanuck….

histoire industrie
bâtiment
Une ville d’art et d’architecture

 

Le fabuleux essor industriel de Boulogne-Billancourt ne l’a pas empêché d’être aussi le siège d’un incroyable foisonnement artistique et architectural. Des peintres et des sculpteurs de notoriété mondiale s’y sont installés, ainsi que des maîtres fondeurs, verriers ou céramistes. Des mécènes aussi. Parmi les grandes célébrités installées à Boulogne-Billancourt, soulignons des noms comme le sculpteur Paul Landowski ou l’architecte urbaniste Le Corbusier.

Cette grande tradition culturelle, la Ville sait la pérenniser en devenant pour le XXIème siècle l’un des hauts lieux de la Vallée de la Culture.

Alors…si vous souhaitez en savoir plus sur l’incroyable histoire et richesse de Boulogne-Billancourt, l’autre grande ville d’Ile-de-France, venez la visiter et y séjourner. L’Office de Tourisme vous donnera toutes les clés.

rond

 BOULOGNE-BILLANCOURT, AUJOURD’HUI

cercle bleu ciel

BOULOGNE-BILLANCOURT, AUJOURD’HUI

Avec 121 334 habitants, Boulogne-Billancourt est la 1ère ville d’Île-de-France après Paris.

 

 

Un tissu économique particulièrement riche

Boulogne-Billancourt est une ville qui attire toujours plus d’entreprises. Avec plus de 15 569 établissements en 2016, Boulogne-Billancourt constitue le premier parc d’activités d’Ile-de-France, après Paris, et est la ville la plus recherchée en région parisienne au 1er semestre 2018.

Une prédominance des activités tertiaires

Ville de la publicité, de l’audiovisuel et des télécommunications, Boulogne-Billancourt bénéficie de la présence massive d’entreprises du secteur tertiaire.
Boulogne-Billancourt accueille de nombreuses entreprises leaders dans leur domaine, parmi lesquelles :

ALTEN, BVA, CEGEDIM , CLEAR CHANNEL FRANCE, HENKEL FRANCE, LA FRANCAISE DES JEUX, LCI, LVMH, RENAULT, SPIE BATIGNOLLES, TBWA, TF1, THOMSON, VALLOUREC, YOPLAIT FRANCE, ROCHE, HPE, IPSEN, BOURSORAMA, MICHELINTRAVEL PARTNER, VINCI…

L’artisanat
 

 

Avec plus de mille entreprises artisanales, Boulogne-Billancourt bénéficie d’une des plus fortes densités du département. La Ville intégrait en 2006 8 % de l’ensemble des activités artisanales des Hauts-de-Seine et 10 % du secteur de la fabrication. 1 095 entreprises artisanales étaient alors enregistrées au Répertoire des métiers à la Chambre de métiers et de l’artisanat des Hauts-de-Seine.

Avec 121 334 habitants, Boulogne-Billancourt est la 1ère ville d’Île-de-France après Paris.

 
Un tissu économique particulièrement riche

 

Boulogne-Billancourt est une ville qui attire toujours plus d’entreprises. Avec plus de 15 569 établissements en 2016, Boulogne-Billancourt constitue le premier parc d’activités d’Ile-de-France, après Paris, et est la ville la plus recherchée en région parisienne au 1er semestre 2018.

 
Une prédominance des activités tertiaires

 

Ville de la publicité, de l’audiovisuel et des télécommunications, Boulogne-Billancourt bénéficie de la présence massive d’entreprises du secteur tertiaire.
Boulogne-Billancourt accueille de nombreuses entreprises leaders dans leur domaine, parmi lesquelles :

ALTEN, BVA, CEGEDIM , CLEAR CHANNEL FRANCE, HENKEL FRANCE, LA FRANCAISE DES JEUX, LCI, LVMH, RENAULT, SPIE BATIGNOLLES, TBWA, TF1, THOMSON, VALLOUREC, YOPLAIT FRANCE, ROCHE, HPE, IPSEN, BOURSORAMA, MICHELINTRAVEL PARTNER, VINCI…

Une mixité du tissu économique

 

Si la Ville accueille un nombre important de grandes entreprises et sièges sociaux, elle est également extrêmement prisée des petites sociétés, des commerces et des artisans. Elle se caractérise ainsi par la mixité de son tissu économique, par la diversité des entreprises de toutes tailles et de leurs activités économiques.

Neuf entreprises sur dix sont des sociétés de moins de 250 salariés.
Principaux secteurs
54,4 % Services aux entreprises
50,6 % Commerce, transport, hébergement et restauration
16,4 % Services aux particuliers
2,9 % Industrie
5,8 % Construction

 
Un pôle emploi majeur

 

Plus de 90 000 emplois salariés sont localisés dans la commune. Ils sont concentrés à 85 % dans le secteur tertiaire, et principalement dans les services aux entreprises. Boulogne-Billancourt compte 64 000 actifs, dont près 70 % sont cadres ou salariés d’une profession intermédiaire.

L’artisanat
 

Avec plus de mille entreprises artisanales, Boulogne-Billancourt bénéficie d’une des plus fortes densités du département.

La Ville intégrait en 2006 8 % de l’ensemble des activités artisanales des Hauts-de-Seine et 10 % du secteur de la fabrication.

1 095 entreprises artisanales étaient alors enregistrées au Répertoire des métiers à la Chambre de métiers et de l’artisanat des Hauts-de-Seine.

poterie
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